Cas d'application - Ultimaker

Le CHRU de Besançon fait appel aux modèles anatomiques
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Cylaos Médical et son partenaire Ennoïa, vous propose une plongée au sein du CHRU Besançon pour y découvrir les applications de l’impression 3D au sein de cet établissement : 

Le CHRU Besançon

Le CHRU Besançon est un centre hospitalier ayant une capacité d’accueil de 1 371 lits et places d’hospitalisation. Plus de 7 150 médecins et personnels hospitaliers assurent d’une année sur l’autre de nombreux passages en consultations externes ainsi que des séjours en hospitalisation. Cet établissement travail d’arrache pied pour assurer différentes missions :

  • Répondre à tous les besoins de santé de la population grâce à une stratégie préventive et des soins hautement spécialisés,
  • Investir dans la recherche dans l’objectif de développer des nouvelles techniques innovantes,
  • Assurer enseignement et formation aux futurs professionnels de santé.

Le CHRU de Besançon a créé une plateforme médicale de modélisation, planification et d’impression 3D pluridisciplinaire, dotée d’imprimantes 3D FDM Ultimaker et d’imprimantes 3D SLA Formlabs. Ce plateau technique permet notamment à l’ensemble des équipes chirurgicales du CHRU de réaliser des modèles anatomiques ou des prototypes de dispositifs médicaux pour planifier en amont une intervention chirurgicale ou créer des outils pédagogiques pour la formation des étudiants en santé. Grâce à cette structure innovante et aux outils performants qui y sont proposés, l’impression 3D médicale s’installe au cœur du CHRU de Besançon, au service des praticiens et des patients.

 

Réduire les temps d’intervention grâce aux modèles anatomiques

Depuis plus de 10 ans, le Dr Elias chirurgien orthopédiste et plasticien utilise l’impression 3D pour réaliser des modèles anatomiques des fractures sur lesquelles il intervient. L’impression 3D de ces modèles permet au docteur Elias d’avoir une meilleure prédictibilité de son geste chirurgical grâce à la  conformation des plaques d’ostéosynthèse en amont de l’opération sur des modèles anatomiques imprimés en 3D. Le chirurgien réduit ainsi de près d’une heure son temps d’intervention au bloc opératoire limitant également la perte sanguine du patient. 

Aider au choix dans la méthode d’intervention

Dans certaines applications, il peut être intéressant d’utiliser plusieurs matières. La combinaison de l’utilisation de matériaux souples couplés à des matériaux durs peut permettre de réaliser un modèle au plus proche de la réalité. Typiquement, une artère pathologique peut être réalisée en matériau souple et les calcifications issues de la maladie athéromateuse, en matériau dur. Lors d’une intervention chirurgicale, le clampage d’une artère pathologique peut être difficile et la manipulation préopératoire du modèle anatomique du patient permet aux équipes chirurgicales intervenant sur des artères pathologiques (chirurgie urologique, chirurgie vasculaire, chirurgie cardiaque…) de mieux définir l’endroit où le clampage pourra être réalisé.

Le choix des imprimantes Ultimaker

Spécialiste de l’impression 3D dans le domaine médical et partenaire de Cylaos Médical, l’ingénieur clinicien Benjamin Billotet accompagne le CHRU dans l’utilisation des machines et le traitement de l’imagerie médicale. La plateforme I3DM du CHRU de Besançon est dotée de plusieurs imprimantes Ultimaker parmi lesquelles figure l’Ultimaker S5. Ces imprimantes 3D Ultimaker répondent à un vaste panel d’applications en toute simplicité. Le volume d’impression de l’Ultimaker S5, son autonomie et sa fiabilité ont rendu possible la fabrication de modèles anatomiques de grande dimension nécessitant plusieurs jours d’impression. Il n’y a pas besoin d’intervenir sur la machine pendant la production et ceci représente un vrai confort d’utilisation.

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